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 Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.

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kazer

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MessageSujet: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyMar 17 Aoû - 14:22

Bon, vous le savez que j'aime bien les histoires en chapitre. Et bien mon BG ne fera pas exception.
Je ne fais qu'un seul BG pour Kazer et Pumkin pour la simple raison que Pumkin à un passé très sombre dont elle ne parla qu'à Kazer.

Aller, voila le chapitre un de mon BG =)


Chapitre 1 : Isolé

A l’est d’Altgar, au fin fond des montagnes existe un village nommé Aomet par ses habitants. Son emplacement le rend sombre tout au long de l’année rendant ses habitants étranges. Des cheveux clairs, une peau qui l’est tout autant et des yeux rouges. On les nomme Albinos ou encore ombre blanche.
Delet et Anasia était un couple tenu en haute estime par les quelques deux cents habitant.
Ce jour-là, Delet partit à la chasse laissant sa femme enceinte de leur second enfant au village. Il partit en direction de la pleine pour trouver un peu plus de nourriture qu’à l’accoutume, accompagné de plusieurs de ses frères chasseurs. Anasia, quant à elle, resta pour s’occuper des blesser et rependre la parole d’Aion comme l’exigeait son rôle de prêtresse.
Le soir, Delet et son groupe campa entre les rochers à encore plusieurs milliers de mètres d’altitudes. L’oxygénation de l’air était étrange pour son organisme.
Delet se posa tant bien que mal contre un rocher et sortit de sa poche un morceau de corde sur lequel des ficelles noué pendaient. Pour un étranger, ceci ne voulait strictement rien dire, mais Aomet, coupé du monde, avait développé ce langage étrange que seule une famille sait déchiffrer. Il se souvenait de ce cadeau d’Anasia lors de leur union. Elle avait eu une éducation lettrée, lui, n’avait pas eu cette chance. Il fixait ce morceau de son histoire, ce souvenant des mots de sa belle : «Quand tu sauras le lire, alors nous seront ensemble pour toujours». Aujourd’hui il comprenait une partit du message mais rien n’était encore gagné. Il posa le morceau de corde à côté de lui et regarda le ciel, se rappelant de ces beaux moments passé au village et priant le retrouver au plus tôt. Cela faisait presque neuf moi que sa femme était en ceinte et il ne voulait pas louper le moment de la naissance de son second enfant. Le ciel s’emplit d’étoile et la lumière disparut, laissant le sommeil l’emporter.
Le lendemain matin, c’est un soleil aveuglant qui réveilla le petit groupe de chasseur. Au village, il est rare que le soleil pénètre à ce point, rendant sa vision difficile à supporter pour à leurs yeux. Durant bien dix minutes, les chasseurs durent s’habituer à tant de lumière avant de pouvoir reprendre leur route. Ils continuèrent ainsi à descendre la montagne pendant trois jours avant de se trouver en plaine, où ils purent enfin chasser le gibier tant convoité.
***
A Aomet, tout était calme. Les provisions diminuant, chacun attendant le retour des chasseurs. Plusieurs groupe étaient partit dans différentes direction à la recherche de différent aliments, plante médicinal ou encore matériaux.
Anasia se demandait comment un peuple d’origine elfique comme le sien avait pu se retrouver si loin des forêts. Elle se demandait parfois comment aurait été leur vie près de leur mère arbre, entouré de la verdure apaisante des plantes. Son regard se posa sur l’un de ces frères mais ne vit pas un elf. Le teint était trop pale, la bouche était empli de crocs acéré, les doigts avaient laissé place à des griffes et les yeux bleu, marron ou vert avaient perdu leur beauté. Tout ce qu’elle vit était une abomination, quelque chose qui avait été un elf, certes, mais qui ne l’était plus depuis longtemps. Anasia retourna à l’entrée de la grotte au conseil et regarda les inscriptions gravé dans la roche dans une langue que nul au village ne comprenait. Elle avait passé sa vie à chercher leur signification, et pourtant tous ces symboles lui restaient totalement étrangers. Elle savait au fond d’elle-même que la raison de leur présence en ces lieux était marquée là-dessus.
Un petit garçon tira sur sa robe.
-Kaasa, done ela aemite ?
Elle le regarda et lui sourit, puis le pris dans ses bras.
-Nodo aeta mote aemite.
Le petit n’était pas en âge de comprendre l’importance de la chasse pour survivre, de comprendre pourquoi son père s’absentait plusieurs jours. Anasia savait s’y faire pour calmer les enfants.
***
Le retour des chasseurs ne tarderait plus. Un jour, peut être deux, et les premiers groupes reviendraient, apportant avec eux de nombreuses victuailles, mais aussi des herbes médicinal, épuisé au village depuis plusieurs semaines.
Les chasseurs ne revinrent jamais.
Cela faisait trois jours que les premiers d’entre eux auraient du rentrer, mais nul n’avaient de nouvelles. Le village était rationné au maximum, il n’y avait plus rien pour soigner les blessés. Petit à petit, une panique les atteints.
Le lendemain, des ombres étaient visible au loin, chacun imaginant la rentrée salvatrice des chasseurs. Les enfants accouraient aux murailles, pendant que les vieillards priaient et remerciant Aion. Anasia, impatiente de revoir son époux ne pouvait pas quitter la clinique du village, trop de gens avaient besoin d’elle.
Elle posa la main sur son ventre, sentent son enfant bouger en elle. Elle sourit. Son autre fils attendait à côté d’elle, la regardant, tous deux étaient heureux.
Puis des cris
Puis des pleurs.
A l’entrée du village, un homme tenait la tête de l’un des chasseurs dans sa main, une véritable armée derrière lui.
Il laissa tomber la tête par terre et sortit une énorme épée de son dos. Ses hommes chargèrent.
Anasia prit son fils par le bras et tous deux partirent se cacher au fond de la clinique. Elle le sera contre elle quand un homme entra, suivit de quatre guerriers.
-Cet enfant, il fera l’affaire. On le prend et on le ramène à mon père.
L’un des guerriers s’approcha et agrippa l’enfant. Anasia tenta de le retenir, mais un lame lui transperça la poitrine. L’enfant lui glissa des bras alors qu’un froid empli son corps. Elle cria puis tomba sur le côté. Ses yeux ce refermèrent doucement, puis elle ne sentit plus rien.
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Malice

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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyMer 18 Aoû - 10:52

kazer a écrit:
Bon, vous le savez que j'aime bien les histoires en chapitre. Et bien mon BG ne fera pas exception.
Je ne fais qu'un seul BG pour Kazer et Pumkin pour la simple raison que Pumkin à un passé très sombre dont elle ne parla qu'à Kazer.

Aller, voila le chapitre un de mon BG =)


Chapitre 1 : Isolé

A l’est d’Altgar, au fin fond des montagnes existe un village nommé Aomet par ses habitants. Son emplacement le rend sombre tout au long de l’année rendant ses habitants étranges. Des cheveux clairs, une peau qui l’est tout autant et des yeux rouges. On les nomme Albinos ou encore ombre blanche.
Delet et Anasia était un couple tenu en haute estime par les quelques deux cents habitants.
Ce jour-là, Delet partit à la chasse laissant sa femme enceinte de leur second enfant au village. Il partit en direction de la pleine plainepour trouver un peu plus de nourriture qu’à l’accoutumeaccoutumé, accompagné de plusieurs de ses frères chasseurs. Anasia, quant à elle, resta pour s’occuper des blesserblessés et rependrerépandre la parole d’Aion comme l’exigeait son rôle de prêtresse.
Le soir, Delet et son groupe campacampèrent entre les rochers à encore plusieurs milliers de mètres d’altitudes. L’oxygénation de l’air était étrange pour son organisme.
Delet se posa tant bien que mal contre un rocher et sortit de sa poche un morceau de corde sur lequel des ficelles nouénouées pendaient. Pour un étranger, ceci ne voulait strictement rien dire, mais Aomet, coupé du monde, avait développé ce langage étrange que seule une famille sait déchiffrer. Il se souvenait de ce cadeau d’Anasia lors de leur union. Elle avait eu une éducation lettrée, lui, n’avait pas eu cette chance. Il fixait ce morceau de son histoire, ce sesouvenant des mots de sa belle : «Quand tu sauras le lire, alors nous seront seronsensemble pour toujours». Aujourd’hui il comprenait une partit partiedu message mais rien n’était encore gagné. Il posa le morceau de corde à côté de lui et regarda le ciel, se rappelant de ces beaux moments passépassés au village et priant le retrouver au plus tôt. Cela faisait presque neuf moimois que sa femme était en ceinte enceinteet il ne voulait pas louper le moment de la naissance de son second enfant. Le ciel s’emplit d’étoileétoiles et la lumière disparut, laissant le sommeil l’emporter.
Le lendemain matin, c’est un soleil aveuglant qui réveilla le petit groupe de chasseur. Au village, il est rare que le soleil pénètre à ce point, rendant sa vision difficile à supporter pour à leurs yeux. Durant bien dix minutes, les chasseurs durent s’habituer à tant de lumière avant de pouvoir reprendre leur route. Ils continuèrent ainsi à descendre la montagne pendant trois jours avant de se trouver en plaine, où ils purent enfin chasser le gibier tant convoité.
***
A Aomet, tout était calme. Les provisions diminuant, chacun attendant le retour des chasseurs. Plusieurs groupe groupesétaient partit dans différentes directiondirections à la recherche de différentdifférents aliments, plante médicinalplantes médicinales ou encore de matériaux.
Anasia se demandait comment un peuple d’origine elfique comme le sien avait pu se retrouver si loin des forêts. Elle se demandait parfois comment aurait été leur vie près de leur mère arbre, entouré de la verdure apaisante des plantes. Son regard se posa sur l’un de ces frères mais ne vit pas un elfelfe. Le teint était trop palepâle, la bouche était empliemplie de crocs acéréacérés, les doigts avaient laissé place à des griffes et les yeux bleu marron ou vertbleus marrons ou verts, avaient perdu leur beauté. Tout ce qu’elle vit était une abomination, quelque chose qui avait été un elfelfe, certes, mais qui ne l’était plus depuis longtemps. Anasia retourna à l’entrée de la grotte au conseil et regarda les inscriptions gravé gravées dans la roche dans une langue que nul au village ne comprenait. Elle avait passé sa vie à chercher leur signification, et pourtant tous ces symboles lui restaient totalement étrangers. Elle savait au fond d’elle-même que la raison de leur présence en ces lieux était marquée là-dessus.
Un petit garçon tira sur sa robe.
-Kaasa, done ela aemite ?
Elle le regarda et lui sourit, puis le prisprit dans ses bras.
-Nodo aeta mote aemite.
Le petit n’était pas en âge de comprendre l’importance de la chasse pour survivre, de comprendre pourquoi son père s’absentait plusieurs jours. Anasia savait s’y faire pour calmer les enfants.
***
Le retour des chasseurs ne tarderait plus. Un jour, peut être deux, et les premiers groupes reviendraient, apportant avec eux de nombreuses victuailles, mais aussi des herbes médicinalmédicinales, épuiséépuisées au village depuis plusieurs semaines.
Les chasseurs ne revinrent jamais.
Cela faisait trois jours que les premiers d’entre eux auraient du rentrer, mais nul n’avaient de nouvelles. Le village était rationné au maximum, il n’y avait plus rien pour soigner les blessés. Petit à petit, une panique les atteintsatteints.
Le lendemain, des ombres étaient visiblevisibles au loin, chacun imaginant la rentrée salvatrice des chasseurs. Les enfants accouraient aux murailles, pendant que les vieillards priaient et remerciantremerciaient Aion. Anasia, impatiente de revoir son époux ne pouvait pas quitter la clinique du village, trop de gens avaient besoin d’elle.
Elle posa la main sur son ventre, sentent son enfant bouger en elle. Elle sourit. Son autre fils attendait à côté d’elle, la regardant, tous deux étaient heureux.
Puis des cris
Puis des pleurs.
A l’entrée du village, un homme tenait la tête de l’un des chasseurs dans sa main, une véritable armée derrière lui.
Il laissa tomber la tête par terre et sortit une énorme épée de son dos. Ses hommes chargèrent.
Anasia prit son fils par le bras et tous deux partirent se cacher au fond de la clinique. Elle le sera contre elle quand un homme entra, suivit de quatre guerriers.
-Cet enfant, il fera l’affaire. On le prend et on le ramène à mon père.
L’un des guerriers s’approcha et agrippa l’enfant. Anasia tenta de le retenir, mais un lame lui transperça la poitrine. L’enfant lui glissa des bras alors qu’un froid empli son corps. Elle cria puis tomba sur le côté. Ses yeux cese refermèrent doucement, puis elle ne sentit plus rien.

bon, il y a du mieux au niveau des ce/se ^^. l'orthagraphe sur le forum en général n'est pas catastrophique. il y a pire. Par contre j'ai l'impression que s'y vous vous relisez une fois de plus, et que vous cherchiez les fautes. Il y en aurait 3 fois moins ! je ne sentirais plus le besoin de corriger :
genre les s et accords trop souvents oubliés.
les fautes de conjugaisons et d'accents c'est pas dramatique. ^^
sinon pour ce BG(t'avais dis que tu me l'envoyais en avant première T-T) , j'attends la suite !

bon en regardant le résultat c'est correct, c'est juste qu'elles sont plus nombreuses par endroit Smile relache ?
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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyMer 18 Aoû - 17:57

non, c'est le chapitre 5 du bg de la légion que je t'enverrais pas mp pour qu'on l'améliore ensemble =D Après, ici c'est mn BG à moi, c'est personnel, pas touche, hop hop hop (t'inquiète, c'est en toute amitié)


Chapitre 2 : Gloire

L’enfant fut apporté à un riche noble. L’homme était propriétaire d’une arène et ce servait de l’esclavagisme pour grossir les rangs de ses gladiateurs.
-Voilà père, un jeune albinos comme vous le désiriez. Ce mioche nous a cassés les oreilles pendant tout le voyage à crier Kaasa kaasa. J’aurais pu lui en fiche moi des kaasa.
- Alio, calme-toi. Quel et le nom de ce petit?
-Aucune idée père.
-Et qu’est-ce qu’il braille depuis tout ce temps?
-Un truc, intervint l’un des soldats qui accompagnait Alio. Je crois que c’était «Kaaser» ou un truc du genre.
-Alors il portera le nom de Kazer. Donnez-lui une épée et apprenez-lui à se battre.
Et oui, cet enfant, c’était moi.
J’ai passé les années suivantes à apprendre le combat, à lutter jour et nuit pour survivre. J’avais dix ans la première fois que je suis entré dans l’arène pour un combat à mort.
A l’époque, je portais une épée et un bouclier, comme le veut la tradition. Mon armure était légère comparé à aujourd’hui, quelques plaque de cuire mal accommodé et un casque masquant mon visage. Je me présentai au milieu de l’arène comme le veut la coutume. La foule était énorme. Plusieurs centaine de riche étaient venu voir ce combat qui marquait la finale d’un tournoi de trois jours. Mon adversaire entra à son tour. Son corps était déjà recouvert de cicatrices et ses mains portaient le sang de huit de nos frères. Tout le désignait comme future vainqueur.
La fille de mon maitre se leva et lâcha un mouchoir de soie. Quand il toucha le sol, le combat débuta.
Mon adversaire fondit sur moi, m’assainit de suite un coup de bouclier qui me fit voler au sol. Je roula de côté pour éviter sa lame qui s’abattit sur le sable puis me releva en donnant un coup d’épée qui fut paré. Je repris rapidement une posture équilibré et commença à taper de toute mes forces sur un ennemi qui restait inébranlable. Son épée frappa mon bouclier, me faisant reculer d’un coup. Je me jeta sur lui, mon boulier devant moi, et à mon tour le fit reculer. A ses yeux, j’aurais pu parier qu’il souriait. A mon tour, je souris et recommença à lancer des coups d’épée, cherchant une faille exploitable dans sa défense. Il para l’une de mes attaque en tapant avec son épée sur ma lame et commença à son tour à m’assainer des coups d’une puissance incroyable. Mon genou toucha le sol alors que mon bouclier vibrait sous ses assauts multiples. Je vis enfin la faille. Je frappa un coup horizontal qui planta ma lame dans son tibia. Il cria sous la douleur et tomba à terre. Je me releva et posa la pointe de mon épée sous sa gorge. Je regarda en direction de mon maitre qui me fit signe de le mettre à mort. Je ferma mes yeux, inspira et abaissa mon épée. Je sentis une légère résistance puis, le sable. Quand je regarda, sa gorge était maculé de sang et son regard s’était vidé. La foule était en délire et mon nom était scandé.
A partir de ce jour, j’étais Kazer le gladiateur, celui qui avait battu le champion à son premier tournoi.
Je retourna dans les coulisses, ne réalisant pas encore ce que je venais de faire.
Quelques heures plus tard, mon maitre me retrouva et m’ordonna de me préparer à sortir. Il m’emmena dans une soirée organisé en mon honneur et où m’attendaient quelques une des personnes les plus importantes de la cité.
Je le suivis sans vraiment savoir ce qui allait m’arriver. On entra dans une grande demeure. Rien que la cours faisait la taille de la plus grande arène qu’il m’eut été donné de voir, et Aion sait qu’elle était grande. On entra dans une salle de réception bondé où l’élégance et le raffinement trônait au milieu d’invité venant de la noblesse de tout Asmodée. Je ne me sentais pas à ma place.
A mon entrée, les discutions cessèrent et tous les regards ce braquèrent sur moi. Une forte gaine m’envahit, j’ignorais ce qu’ils me voulaient. Soudain, des applaudissements. Une femme se leva et vint me voir. Je ne me souviens plus de ses paroles, mais elles me firent chaud au cœur. La soirée fut une véritable orgie durant laquelle je fus le centre d’attention.
Le lendemain, je me réveilla avec un sacré mal de crane, mais aussi avec un merveilleux souvenir dans la tête : j’étais l’idole de ces dames. Il me tardait de remporter un autre tournois pour à nouveau vivre une si bonne soirée.
Malheureusement, ce jour-là fut des plus monotones. Une nouvelle leçon sur l’honneur du gladiateur, un discourt que nous connaissons tous par cœur.

«Nezakan, seigneur de la justice, rencontra le premier des gladiateurs et admira son honneur. Il vint à lui et lui dit: soit brave et respect ton adversaire, combat le toujours de face et ma main te guidera.
Le gladiateur, fort de cette vision, combattit dans l’honneur. Ce fut Jikel, seigneur de la destruction, qui vint le voir à son tour et lui dit: Ne laisse personne te bafouer, détruit celui qui n’a pas d’honneur et je t’ouvrirais les porte d’Aion
De par les paroles des deux seigneur, le gladiateur port la mort à ceux qui la méritaient et vécu dans un code de l’honneur très strict.
Tel est l’histoire du premier gladiateur et le serment de chacun.»

Il est vrai que par moment j’aurais pu juger sentir une force guider ma main. Après tout qui sait? Les Seigneurs Empyréens sont depuis longtemps séparés entre Asphel et Ariel, mais on nous a appris à vénérer chacun d’entre eux pour sa gloire passée. Nezakan, aujourd’hui Elyséen et Jikel, seigneur sombre, sont aujourd’hui mon crédo sacré parmi tous. Quitte a mourir, je dois leur faire honneur.
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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyJeu 19 Aoû - 8:23

ah oui ! je savais bien que tu devais m'envoyer un truc ! "en avant première" j'aurai fait que le lire évidemment lol, bon j'aurai corrigé les fautes de français !

il y pas tu t'en sors bien dans les récits de combat !
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kazer

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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyJeu 19 Aoû - 9:36

tu trouves? je trouve que je m'en sort mieux dans les récit romantique que les récits de combat ^^'

je sais pas, j'aime pas ma façon d'écrire, j'enchaine la situation comme il faut pour qu'on puisse se l'imaginer, mais je ne trouve jamais les tournure de phrases qui m'éviterais au maximum les répétitions.
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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyVen 20 Aoû - 17:29

pour éviter les répétitions,quand je trouve pas le moyens de les éviter, je cherche des synonymes sur internet .
Bah j'attends un récit romantique alors !
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Dresdhen

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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyDim 29 Aoû - 18:23

les - :
l'orthographe et les répétitions...(bin oui)^^

les +
les descriptions des actions sont dynamiques ! c'est vraiment plaisant à lire du coup!
un passage m'a particulièrement plus celui ou la mère parle à son enfant, c'est peut être bête car c'est sur deux lignes, mais on comprend de suite ce qu'ils peuvent se dire! on imagine très bien la scène!
^^

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kazer

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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyDim 29 Aoû - 19:17

oui, j'ai volontairement gardé la langue non traduite car "kaasa" signifie mère dans la langue de la tribu, je trouvais plus logique d'agir ainsi vis-à-vis de mon pseudo (cf début du chapitre 2)

normalement, mercredi je peux attaquer le chapitre 3 (j'ai pas mon matériel en ce moment donc je ne m'y lance pas)
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Reah

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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyLun 30 Aoû - 10:28

Je trouve ca sympa avec quelque petites réserves j'attends de voir la fin du récit. ^^

et par contre je me suis taper 2 énormes fou rires sur 2 fautes de frappe.

kazer a écrit:



- Je me jeta sur lui, mon boulier devant moi,

- Une forte gaine m’envahit,

Je vois trop Kazer ce battre avec ca XD

Nouvelle arme :

Spoiler:

Nouvelle armure :

Spoiler:

Classe non ? XD
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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyLun 30 Aoû - 17:36

oui, des fois j'ai de sacré fautes, tant que ça fait rire ça passe ^^'

pour la première j'ai une bonne excuse! mon clavier et en train de mourir et comme je me base surtout sur le soulignement de word, ben je me suis fait avoir Embarassed

pour la deuxième, grossière erreur ^^'
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MessageSujet: Re: Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux.   Kazer, le gladiateur qui échappa au Dieux. EmptyMar 28 Sep - 23:54

Chapitre 3: Liberté

Durant des années, je fus le maitre de l’arène, lagloire personnifiée ; le nom de Kazer faisait vibrer la noblesse et labourgeoisie, nul n’était insensible à ma présence car tous me craignaient etm’admiraient à la fois. Mes histoires étaient loué, chanté par certain des plusgrands bardes asmodiens, ma simple présence rendait folle la plus humble desfoules, j’ai même vu une femme accouché après être devenu hystérique en mevoyant. J’avais l’impression d’être un Dieu parmi les hommes. Vers la fin,l’arène me trouva même un surnom : Kazer, le fils de Jikel. Jamais jen’aurais pensé que cette gloire n’étais qu’éphémère, et aujourd’hui encore, lanostalgie de cette époque m’empli chaque soir de ces souvenirs désormaislointain, mort.

***

Je me souviens d’un jour il y a plusieurs années. Unefête avait été donnée pour mes dix-sept ans, une grande fête dans le milieu dela noblesse où j’affronta un puissant guerrier au sein même de l’arène.
Ce guerrier dont je n’ai jamais connu le nom avaitune armure de plate lourde dorée et un casque complet. Ses armes, deux marteauxde guerre qu’il maniait à la perfection, étaient décorées de plume de Virago.Avec mon armure de maille, je dois dire que je ressemblais plus à un clown àcôté de lui qu’à un véritable guerrier, mais mon espadon récemment gagné meprocurait une force de frappe que j’espérais pouvoir mettre à contribution.
Quand le combat commença, aucun d’entre nous deuxne bougea. On s’observa pendant plusieurs minutes, cherchant une faille dans laposture de notre adversaire, une ouverture dans l’armure ou quoi que ce soitd’utilisable lors d’un combat. Je fus le premier a attaqué. Je couru vers leguerrier puis tournoya sur moi-même pour feindre un coup de taille que je finien estoc visant directement sa gorge. Le guerrier m’esquiva puis donna un coupdans ma lame pour la projeter en l’air et casser ma défense pendant que sondeuxième marteau visait mes cotes. Me servant du poids de mon espadon, je lalaissa ce planter derrière moi, sans la lâcher, pour me retrouver au plus près du sol. Je poussa sur me jambes, et sautapour faire une roue autour de mon espadon qui se retrouva à nouveau devant moi.Je sortie la lame du sol et pris une posture défensive, un genou à terre, lereste de l’arme protégeant l’intégralité de mon corps. Le guerrier attaqua ànouveau. Je tendis ma jambe pour medonner un élan vers l’avant et tout en tournoyant sur moi-même lança mon armede bas en haut pour tenter de trancher le plastron de plate que portait monadversaire. Il esquiva le coup et abaissa l’un de ses marteaux sur moi, meramenant au sol. Il sauta en arrière et dit «un à zéro» en me regardant. Je mereleva péniblement et pris une nouvelle posture de combat, mon arme dirigéderrière moi. Une nouvelle fois, je fonça sur lui, tenta le même coup de taillequ’au début de notre combat. Il bloqua on attaque. Je tourna rapidement surmoi-même et porta le même coup de l’autre côté de sa tête qu’il bloqua unenouvelle fois. Je renforça le poids de mon arme en en posant mon épaule contreet réussi à le briser sa posture. On entendit ma lame grincer contre sonarmure. Je continua mon mouvement, me retrouva dos contre dos avec lui puisfini de l’autre côté. Je me retrouva un genou à terre et porta une nouvelleattaque dans la continuité du mouvement de mon espadon qui transperça leplastron du guerrier et ce planta dans sa chaire en dessous de ses cotes. «Jeu,set et match» lui dis-je avant de retirer mon arme.
Bien que vivant, il tomba lourdement au sol et ne putreprendre le combat.
Une nouvelle fois, je confirma ce qu’on pensait demoi. Comme à mon habitude, mon combat était court, très court, mais restaitimpressionnant. Comme à mon habitude, je quittais l’arène victorieux.
Le soir, une fête était organisée dans la maison d’unenoble veuve, pas très loin de Pandémonium. La fête fut banale. Au départ, lesmondanités étaient de mises mais une fois l’alcool ayant pris ses droits,enfin, je vous laisse imaginer. Durant la soirée, je revis le guerrier que j’avaisterrassé l’après-midi. Il me félicita de mon combat et m’offrit un lourd paquetdans lequel se trouvait la réplique de son armure. Il m’expliqua qu’elle venaitd’Elyséa et que peu d’asmodiens peuvent ce venter d’en posséder une.
Le soir venu, je partagea le lit de la maitressedes lieux.
Certains imaginent que la vie d’un gladiateur cerésume à combattre dans l’arène, mais notre statut d’esclave nous obligesouvent à avoir plusieurs activités, souvent au plus offrant. Heureusement pourmoi, ce soir-là j’eu le droit à une belle et douce asmodienne avec qui je passaun très agréable moment.
Alors qu’elle dormait la tête posée sur mon torse,je regardais le ciel à travers l’immense fenêtre de sa chambre. J’admiraiscomme souvent le reflet d’Elyséa, illuminé et sublimé par la noirceur de lanuit, ou encore le gigantesque rayon d’Aether qui remplaçait la tour de l’éternité.Ce soir-là, c’est autre chose qui attira qui mon attention. Au loin, je vis unpanache de fumé orangeâtes, certainement dû à un incendie. Je fronça lessourcils pour essayer d’identifier le lieu, puis je compris. Je me leva encatastrophe, m’habilla en vitesse et sortis sans même jeter un œil à celle dontje partageais le lit. Je courus aussi vite que je le pus et arriva devant l’arène,en flamme. Un membre de la garde de Pandémonium me vit et me signala à sescollègues en criant. Je tourna les talons et partit à travers les ruelles poursemer mes poursuivants. Je compris alors que l’arène était fini pour moi, quedésormais, je devrais apprendre à survivre dans un monde différent.
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